Cap sur Paris …

Nous voici sur le parvis de Notre Dame, la célèbre cathédrale gothique, où une multitude d’artistes proposent diverses animations au public. Ici un peintre qui calligraphie les prénoms des jeunes filles !

Notre Dame : Les statues sur la façade (porte de gauche)

Notre Dame : Les statues sur la façade (porte de gauche)

Les gargouilles de Notre Dame de Paris

Les gargouilles de Notre Dame de Paris

La grande flèche érigée par Violet Le Duc

La grande flèche érigée par Violet Le Duc

On pense qu’au début de l’ère chrétienne il existait à l’emplacement de Notre-Dame, un temple païen, remplacé ultérieurement par une grande basilique chrétienne sans doute assez semblable aux basiliques antiques. Nous ne savons pas si cet édifice, dédié à St-Etienne, a été élevé au IVè siècle et remanié par la suite ou si il date du VIè siècle avec des éléments plus anciens réemployés (hypothèse de la cathédrale de Childebert Ier, fils de Clovis et de Clotilde).

Les vitraux de la cathédrale

Les vitraux de la cathédrale

Quoi qu’il en soit, cette cathédrale Saint-Étienne était de très grandes dimensions pour l’époque. Sa façade occidentale, se trouvait à une quarantaine de mètres plus à l’ouest que la façade actuelle de Notre-Dame et avait une largeur à peine inférieure : elle mesurait 36 mètres. Quant à la longueur de l’ancien édifice, elle était de 70 mètres, c’est-à-dire un peu plus de la moitié de la longueur de la cathédrale actuelle. Des rangées de colonnes de marbre séparaient cinq nefs. L’édifice était orné de mosaïques. Elle était complétée sur son flanc nord par un baptistère, appelé Saint-Jean le Rond. La présence d’un baptistère est attestée avant 451.

Les vitraux de la cathédrale

Les vitraux de la cathédrale

La cathédrale Saint-Étienne semble avoir été régulièrement entretenue et réparée, suffisamment en tout cas pour résister aux guerres et aux siècles. Cependant, en 1160, l’évêque Maurice de Sully décida la construction d’un sanctuaire d’un nouveau type beaucoup plus vaste. Comme dans l’ensemble de l’Europe de l’ouest, les XIIe et XIIIe siècles se caractérisent en effet par une rapide augmentation de la population des villes françaises, liée à un important développement économique, et les anciennes cathédrales étaient un peu partout devenues trop petites pour contenir les masses de plus en plus grandes de fidèles. Les spécialistes estiment que la population parisienne passe en quelques années de 25 000 habitants en 1180, début du règne de Philippe II Auguste, à 50 000 vers 1220, ce qui en fait la plus grande ville d’Europe, en dehors de l’Italie .

Les vitraux de la cathédrale

Les vitraux de la cathédrale

L’architecture de la nouvelle cathédrale devait s’inscrire dans la ligne du nouvel art que l’on appellera gothique ou ogival. Plusieurs grandes églises gothiques avaient déjà été inaugurées à ce moment : l’Abbatiale Saint-Denis, la cathédrale de Noyon et celle de Laon, tandis que celle de Sens était en voie d’achèvement. La construction, commencée sous le règne de Louis VII dura de 1163 à 1345. À cette époque, Paris n’était qu’un évêché, suffragant de l’archevêque de Sens.

L'une des deux grandes rosaces

L’une des deux grandes rosaces

Les vitraux de la cathédrale

Les vitraux de la cathédrale

Les vitraux de la cathédrale

Les vitraux de la cathédrale

De retour sur le parvis de la cathédrale, nous trouvons les statues de Charlemagne et Clovis !

Statues de Charles et Clovis sur le parvis de Notre-Dame

Statues de Charles et Clovis sur le parvis de Notre-Dame

Un détour par la Conciergerie …

La Conciergerie

La Conciergerie

La Conciergerie est le principal vestige de l’ancien Palais de la Cité qui fut la résidence et le siège du pouvoir des rois de France du Xè au XIVè siècle et qui s’étendait sur le site couvrant l’actuel Palais de Justice de Paris. De nos jours, l’édifice longe le Quai de l’horloge, sur l’Ile de la Cîté, dans le 1er arrondissement de Paris. Il fut converti en prison d’état en 1392, après l’abandon du palais par Charles V et ses successeurs.

La prison occupait le rez-de-chaussée du bâtiment bordant le quai de l’Horloge et les deux tours ; l’étage supérieur était réservé au Parlement. La prison de la Conciergerie était considérée pendant la terreur comme l’antichambre de la mort. Peu en sortaient libres. La reine Marie-Antoinette y fut emprisonnée en 1793.

Le monument est géré par le Centre des monuments nationaux à qui il a été attribué à titre de dotation par un arrêté du 2 Avril 2008. source wikipédia.org

Musette sur le bord de Seine ... ça c'est Paris !

Musette sur le bord de Seine … ça c’est Paris !

L'Arc de Triomphe, Les Tours de La Défense et à droite l'hötel Crillon

La plus belle avenue du monde durant les illuminations de Noël ! A cette époque-là, la grande roue était sur la place de la Concorde. Depuis quelques mois elle se trouve dans le jardin des Tuileries, côté musée du Louvre.

Les Champs Elysées !!!

Les Champs Elysées !!!

L'Arc de Triomphe

L’Arc de Triomphe

En haut des Champs-Elysées, l’Arc de Triomphe de l’Etoile est le plus illustre symbole de notre histoire nationale. Décoré sur toutes ses façades de groupes sculptés, « le départ des volontaires », face aux Champs-Elysées, semble vous inviter à la visite. A plus de cinquante mètres du sol vous dominerez la vie parisienne et contemplerez les perspectives mondialement connues des urbanistes de Paris, au premier rang desquels le Baron Haussmann. Edifié à partir de 1806 par ordre de Napoléon 1er en l’honneur des armées françaises, achevé trente ans plus tard sous le règne de Louis Philippe, l’Arc de Triomphe consigne la mémoire et le symbole. Vous ne pourrez rester indifférent devant cette cathédrale républicaine qui demeure placée au-dessus de tous les bouleversements politiques. Avec son architecture majestueuse issue des arcs de l’antiquité, imaginez vous devenir le témoin du retour des cendres de l’Empereur en 1840 ou encore de l’enterrement de Victor Hugo en 1885. De même, vous ne pourrez oublier le passage des armées victorieuses en 1919 et en 1944. Le soir après avoir assisté avec émotion au ravivage de la flamme du soldat inconnu dont le corps repose sous les arches depuis 1921, vous pourrez admirer, depuis la terrasse, le soleil qui se couchera devant vous tandis que les lumières de Paris vous feront rêver. Source arc-de-triomphe.monuments-nationaux.fr

 

L'église de la Madeleine

L’église de la Madeleine

L’église de la Madeleine se situe sur la place de la Madeleine dans le VIII arrondissement de Paris. Elle constitue une parfaite illustration du style architextural néoclassique.

Sa construction s’est étalée sur 85 ans en raison des troubles politiques en France à la fin du XVIIIème siècle, et au début du XIXème siècle. Les changements politiques de l’époque en firent modifier à plusieurs reprises la destination et les plans

Conçu par Napoléon 1er comme un temple à la gloire de sa Grande Armée en 1806, le bâtiment faillit être transformé en 1837 en gare ferroviaire, la première de Paris, avant de devenir une église en 1845. Source Wikipédia.org

L'Opéra de Paris

L’Opéra de Paris

 
Le Palais Garnier est un des éléments structurants du IXe arrondissement de Paris et du paysage de la capitale française. Situé à l’extrémité de l’avenue de l’Opéra, près de la station de métro du même nom, l’édifice s’impose comme un monument particulièrement représentatif de l’architecture éclectique et du style historiciste de la seconde moitié du XIXe siècle et s’inscrit dans la continuité des transformations de Paris menées à bien par Napoléon III et le préfet Haussmann.Cette construction a longtemps été considérée comme l' »Opéra de Paris », mais depuis l’ouverture de l’Opéra Bastille en 1989, on la désigne par le seul nom de son auteur : Charles Garnier. Les deux sites sont aujourd’hui regroupés au sein de l’établissement public, industriel et commercial « Opéra national de Paris ».